La Martinswand… Le Hohneck… Des noms que tout grimpeur connaît même sans y avoir mis les pieds, ou plutôt les chaussons. Il faut dire que le massif du Hohneck est un lieu exceptionnel dans les Vosges, le paradis des randonneurs, des amoureux des grands espaces et des grimpeurs. Son sommet est perché à 1363 mètres d’altitude entre la Martinswand (la fameuse falaise dont nous allons parler) et le Kastelberg. Vous surplombez la plaine d’Alsace et distinguez la Forêt Noire et même les Alpes par temps clair. Autre fait marquant, il se dit que le Hohneck a des vertus médicinales :
“Il y a quelques années, lorsque dans une famille Vosgienne une enfant avait la coqueluche, le remède était de l’emmener au Hohneck pour lui faire profiter de son air pur et du froid glacial. Un véritable remède de grand-mère qui a fait ses preuves parait-il…” (source)
De notre côté, nous n’avons pas soigné notre coqueluche (ou la Covid, c’est d’époque) mais plutôt l’engagement entre les points et la lecture d’itinéraire. Bienvenue à La Martinswand, le site phare de la région et avec vue sur le sommet du Hohneck. Et, ce n’est pas pour rien que les Lorrains, les Vosgiens et même les Allemands viennent s’entrainer ici pour leurs courses en montagne…
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SOMMAIRE: Présentation et situation | Rocher et Escalade – Exposition – Nombre et longueur des voies – Cotations | Quelques noms de voies réalisées | Accès, Approche, bivouac | Idée de balade: le Sentier des Roches | Topos et infos supplémentaires
ღ Présentation et situation de la falaise de La Martinswand
Parlons un peu de géologie pour commencer :
« Des gneiss au nord, des granits au centre, des roches sédimentaires d’origine volcanique au sud constituent le soubassement des Hautes-Vosges. Il s’agit des restes du vaste et vieux massif hercynien formé entre 400 et 500 millions d’années. Les formes actuelles du massif sont en revanche beaucoup plus jeunes. Elles proviennent de la surélévation et la dislocation de l’ancien socle créée par la formation des Alpes. Le vieux massif va en effet s’élever une seconde fois. Mais il se disloque en son centre et s’effondre en gradins. En bordure ouest et est apparaissent respectivement les Vosges et la Forêt Noire. L’érosion et les glaciers façonneront les paysages qui nous sont parvenus. La dernière période glaciaire a pris fin y a 12000 ans. » PNR du Ballon des Vosges
Le massif du Hohneck offre une étonnante diversité de milieux naturels liée au relief, aux variations géologiques mais surtout aux conditions climatiques, elles-mêmes dépendantes de la topographie, de l’altitude ou de l’exposition. Le massif fait ainsi obstacle aux perturbations océaniques venant de l’ouest. Les hivers sont froids et les étés frais (11° en moyenne contre 20° en plaine d’Alsace… Jusqu’à quand?!). C’est le domaine des fortes précipitations, jusqu’à 2 000 mm/an sur la crête, et d’une couverture neigeuse épaisse et durable avec la formation de névés dans les dépressions où la neige s’accumule. Le massif recèle des milieux naturels rares, tels que les hautes-chaumes, les tourbières, les hêtraies-sapinières, les forêts collinéennes de chênes et de hêtres, les pelouses calcaires, les cours d’eau, les lacs et les étangs. Ces milieux très diversifiés abritent une faune et une flore emblématiques.
Le Hohneck est un sommet du massif vosgien culminant à 1363 mètres. Point culminant de la Lorraine, il se situe sur la crête qui sépare justement la Lorraine de l’Alsace. Il est le deuxième massif le plus haut des Vosges. Côté lorrain, ses pentes sont douces. Côté alsacien, on le compare aux sommets alpins à cause de son caractère abrupt. Concernant le sommet, bien que de relative faible altitude (inférieure à 2000m), il présente une nature dénudée que l’on ne retrouve qu’à partir de 2000m d’altitude dans les Alpes. Les vents océaniques qui fouettent cette région rendent en effet quasiment impossible toute végétation forestière, soit un aspect semblable aux étages subalpins. Cette caractéristique, dans les Vosges, le rend unique en son genre. Appelé autrefois le Haut de Chaulmes (ou Chaumes) par les Lorrains et le Hohen Eck par les Alsaciens, le sommet est devenu le Hohneck. Etymologiquement, son nom vient donc du germanique » Hoh » signifiant « sommet » et du celtique « ek » signifiant « pointu ». Le sommet pointu. Personne ne comprend pourquoi.
Le géant du Hohneck et l’esprit de la montagne
« Sur les hauteurs inaccessibles des Spitzkoepfe, falaises granitiques situées dans le massif du Hohneck, telle la Martinswand, vivait autrefois l’esprit de la montagne. Nul ne l’avait jamais vu, mais chacun savait que le vent de tempête et les orages qui s’acharnent sur le massif du Hohneck expriment ses mauvaises humeurs.
Un jour, un géant voulut traverser le massif. L’esprit ne l’entendait pas de cette oreille et déchaîna une terrible tempête qui couchait les sapins et brisait les rochers, formant des éboulis au pied des pentes. Le lac de Fischboedle montre une de ces pentes couvertes de blocs.
Le géant ne se laissa pas impressionner. Il appela à la rescousse les nains de la montagne, qui taillèrent les rochers à grands coups de pic et lui firent un passage à travers les pentes, à l’abri de l’esprit, manifestant ainsi qu’on a souvent besoin d’un plus petit que soi…
L’esprit de la montagne, furieux, se réfugia dans la forteresse inexpugnable que constituent les pics des Spitzkoepfe, d’où il ne manifeste plus sa mauvaise humeur que par de violents coups de vent ou les craquements du tonnerre. » (Source)
Je vous rassure, vous n’allez pas rencontrer de géant sur le massif du Hohneck mais plutôt des chamois, des rapaces et de belles plantes ! Sur les plus hauts sommets du massif vosgien, la forêt cède la place à de vastes prairies d’altitude : les hautes-chaumes. Refuge d’une faune et d’une flore remarquables, haut-lieu de la botanique vosgienne, le territoire de la réserve Biologique dirigée dite Chaume Charlemagne représente, avec son caractère alpin marqué, un des sites les plus prestigieux du massif. La falaise de la Martinswand est pile dedans 😉
Un peu d’Histoire maintenant concernant la biologie du site car les paysages du massif ne sont pas naturels pour autant. Les défrichements des sommets, permettant l’extension des milieux ouverts, ont dû démarrer au VIIIe siècle grâce aux marcaires alsaciens (nom donné plus tard au plat typique des fermes-auberges). Ils ont ainsi permis depuis plus d’un millénaire, le développement de l’économie des Hautes-Chaumes et la gestion extensive de ces milieux exceptionnels.
La réserve naturelle débute au col du Falimont et descend jusqu’au vallon du Frankenthal. Merci de contribuer à la protection des milieux en respectant la réglementation, indiquée sur les panneaux de signalétique du parking. Restez sur les sentiers balisés pour préserver la quiétude de la faune sauvage et le plaisir de vos observations ! Car ces milieux, aussi recherchés qu’accessibles, subissent les assauts cumulés d’un climat rigoureux et d’un public nombreux. La Martinswand se trouve en contrebas des chaumes qui constituent un biotope très fragile : quelques centimètres d’humus sur le granit. Ce terrain est fortement exposé au ravinement, vous allez vous en rendre compte en accédant à la falaise.
ღ Rocher et Escalade de la falaise de La Martinswand
Mélanie est Lorraine. Mais moi, pour être honnête, je ne connaissais pas les Vosges ni le Hohneck avant de venir faire un stage au refuge des 3 Fours pour le DU des gardiens de refuge en mars 2012. Le gardien de l’époque m’emmena découvrir les vallons enneigés en ski de rando (seul endroit en France où l’on descend en 1er pour remonter ensuite) et en alpi (il y a de quoi faire dans le cirque, et surtout il m’emmena grimper cette falaise mythique avec un panorama à couper le souffle.
Connue depuis le XIXe siècle, cette falaise granitique a été baptisée Martinswand en mémoire de la Martinswand d’Innsbruck par des alpinistes allemands et autrichiens. Pourquoi exactement, personne ne sait mais ce sont eux qui en premier se sont essayés à « la varappe » sur les « pics » des crêtes (selon des traces écrites dans des cahiers militaires) en ouvrant une voie qui remontait la plus haute face rocheuse donnant sur le Frankenthal. Par la suite il y eu l’impulsion du Dr Louis Féberey (qui déposa une boite au sommet du petit Cervin (nom d’un secteur, pas le Cervin dans les Alpes) où se trouvait un carnet pour noter ses exploits ou les nouvelles voies) qui fut le gardien de la Martin’s avant et après les 2 Guerres. C’est au début des années 60, avec des Vosgiens, Jacques Gsell et sa femme Dady que de nouvelles voies furent ouvertes et qui deviendrons plus tard des classiques ! Le libre apparaît dans les années 70 et les locaux commencent à enlever toute la ferraille dans les voies et grimpent sur coinceurs. Peu à peu et sous l’impulsion de 2 cordées de Mulhouse (Jean-François Hagenmuller, Jean-Pierre Minazzi, Serge Koenig et Serge Haffner), l’orientation de l’escalade libre prend la route d’équiper à demeure les voies dures. Dans les années 80 il y a eu un équipement complet des voies sur spit et des relais bétons tout en gardant l’esprit d’époque … aéré. Notons que le 1er 7a français date de juin 1977, par Jean-François Hagenmuller et Jean-Pierre Minazzi avec « Extrème Onction ».
Note du topo « Est’calade » : « Les circulations verticales amènent les grimpeurs à croiser (ou alors à chuter sur) des spits de 10 ou de 12, des gollots inox ou des broches. L’emploi de la broche s’est généralisé récemment. De plus en plus de voies sont désormais équipées d’un renvoi au relais avec mousqueton mais ce n’est pas une généralité. Il faut savoir faire sans, et faire avec des voies qui gardent la réputation d’être un peu engagées. Effectivement, les différents ouvreurs œuvrant ont équipé en leurs temps bien plus « expo » que de nos jours. Les équipements plus récents (La Martinswand est une école d’escalade entièrement rééquipée au début des années 1990) sont pourvus d’une trame de spits plus resserrée, évitant en principe tout chute au sol ou vol important, mais – car il y a toujours un mais – il est bon de savoir que c’est la qualité de la roche qui dicte le placement du point. Plus encore en granit, où l’abondance d’écailles fines et profondes fragilisent le couvercle minéral (ah ! les envolées loin du point à la Martinswand…) Si le point est un peu mal placé ou lointain, c’est plus souvent dû à une contrainte géologique qu’à la malice des ouvreurs ». Jacques Dreyer
Avec le gardien je me rappelle avoir fait des voies comme « L’étrave », 7a au secteur Petites voies, « L’envers du plumard », 6c+, secteur Petit Cervin ou « l’extrême onction », 7a secteur Petit Cervin. Ici les cotations ne sont pas cadeaux. Le « à-vue » est sincèrement très dur et le placement du corps et surtout des pieds est indispensable. Voilà c’est dit, ici tout est dur, physiquement et psychologiquement. Vous êtes prévenus !
Outre les difficultés liées à l’escalade proprement dite, le site a tout pour plaire. Sans doute le plus beau de toutes les Hautes-Vosges même si nous n’avons pas tout visité. Depuis le parking, il vous suffira de marcher une quinzaine de minutes pour arriver au sommet de la Martinswand. Là, un panorama grandiose s’offrira à vous avec une vue sur la totalité du cirque du Frankental et le Hohneck en fond. Une fois descendus le long de la falaise en faisant attention dans le pierrier, vous verrez ce beau granit digne des parois alpines : un granit à petits feldspaths, moutonné en surface mais régulièrement fracturé pour pouvoir crocheter comme il se doit avec le bout des doigts ou travailler sa technique de mains en fissures, attention ça peut faire mal ! Comparé à l’âge de la falaise et à sa fréquentation en période estivale, le cailloux n’est absolument pas patiné, les chaussons accrochent et il suffit d’y croire pour atteindre le relais (si si on se l’est souvent dit en regardant les points éloignés … pose tes pieds, ça va aller !).
A la Martinswand il existe un large éventail de voies dans toutes les difficultés mais attention, les voies « faciles » ne sont pas pour autant sur-équipées, loin de là. L’équipement est resté espacé pour conserver le caractère montagnard des lieux et souvent ce sont les classiques « d’époque ». C’est le site par excellence des entrainements des courses en montagne pour les Alsaciens, Lorrains et Allemands. Dans les voies plus dures, les mouvements des crux sont souvent sur coincements ou sur micro-réglettes, et le point n’est pas toujours au niveau de vos hanches. Mieux vaut avoir un mental d’acier pour se lancer sur ce beau granit. L’escalade peut être déroutante, mais avec un peu de technique et quelques essais, on se fait rapidement plaisir.
ツ EXPOSITION:
La Martinswand se trouve à 1200m d’altitude, de ce fait, le climat est alpin et relativement continental donc hivers froids, souvent très enneigés, étés chauds et orageux. L’orientation sud-est de la falaise permet des après midis à l’ombre du soleil et à l’abri du vent. On peut grimper de mai à octobre. En hiver, le ski est plus approprié… Tant qu’il y’aura de la neige!
ツNOMBRE ET LONGUEURS DEs VOIES
Environ 100 longueurs en 2021. De 15 à 80m de haut. Comme l’écrit Serge Haffner : « L’équipement peut être constitué de goujons/plaquettes, de broches inox/Fixes ou de « Broches à Rom » (broches qui ressemblent à des broches Bis, mais qui sont plus longues, moletées et très solides) ». Une douzaine de dégaines suffisent pour faire la grande majorité des voies, prévoir des coinceurs, ça peut être utile dans certaines longueurs mais attention, il n’est pas possible de les placer dans toutes les voies.
ツ COTATIONS:
Du 3c au 8b. La majorité des voies sont dans le 6a+ / 6b. Il se dit qu’à la Martinswand, l’équipement actuel peut être quand même considéré comme engagé, c’est pourquoi il n’est pas prudent pour un grimpeur de s’engager en tête dans un itinéraire à la limite de son niveau.
ღ Quelques noms de voies réalisées
- Digitale grise – 6a+, secteur Petit Cervin
- L’aérienne – 5c, secteur Petit Cervin
- La Mulhousienne – 6a, secteur Petit Cervin
- Antoinette – 6a+, secteur Martinswand
- Sylvaner blues – 6b+, secteur Martinswand
- La blandinette – 4c, secteur Martinswand
- La Strasbourgeoise directe – 5b, secteur Martinswand
- La retraite des vieux – 5a, secteur Martinswand
ღ Accès et Approche
ツPOUR ACCÉDER AU PARKING :
Suivre la D417 jusqu’au col de la Schlucht, prendre la direction du Hohneck par la route des crêtes. Le parking (parking du Chitelet ou parking des 3 Fours) se trouve dans une courbe à environ deux kilomètres du col, juste après la bifurcation qui conduit au refuge des Trois Fours.
NB : Il existe une navette des Crêtes destinée à limiter la fréquentation sur la route des Crêtes, renseignements à l’Office du Tourisme de Munsters ou à la maison du parc des Ballons.
ツMARCHE D’APPROCHE :
Prendre le sentier qui traverse la forêt et mène sur la crête, puis sur la gauche un sentier vous guide jusqu’au site, lorsqu’on sort de la forêt. Un panneau marque l’entrée du lieu. Depuis le haut des voies, prendre le sentier qui descend à droite et contourne la falaise. On arrive au bas du Petit Cervin par un pierrier assez raide. Moitié haute : le long du rocher. Moitié basse : s’éloigner et descendre à l’aide de câbles sur un éperon satellite. (15 minutes à pied)
Attention, la descente et le pied des voies ne sont pas adaptés pour les jeunes enfants.
ツEXTRAIT DE CARTE IGN – TOP 25
Lien permanent: www.geoportail.gouv.fr
ツPOUR LE BIVOUAC EN CAMION
Le col du Breitfirst à 1278 m d’altitude, au bord d’un champs : coordonnées lat 47.947927 ° long 7.028059°
ღ Pour changer de la grimpe: Le sentier des Roches
Distance : 13km, Boucle
⬆️ Dénivelé : 550m D+
🕓 Durée de la rando : environ 4h avec les pauses photos
🚙 Parking : col de la Schlucht
⚠️ Attention : cette rando est technique : Le sentier est taillé à flanc de roche et des échelles équipent par endroit l’itinéraire. Il faut avoir le pied sûr et des bonnes chaussures de rando.
Le Sentier des Roches est balisé par un rectangle bleu et dès les premiers pas, vous êtes conquis par la vue ! Plusieurs panoramas s’offrent à vous dès le début. La nature est simplement extraordinaire tout au long du sentier : des sapins qui poussent au milieu des moraines qui laissent apercevoir la Vallée de Munster en contrebas, des ruisseaux qui se jettent en cascades, des plateformes taillées dans le granit, des forêts de hêtre pour la suite de la balade, une ferme-auberge au bord d’une tourbière…
Le début de la rando marque le vrai sentier des Roches par la paroi du Montabey. Il se fraye un chemin, souvent en corniche, franchit des ravins sur des passerelles, monte et descend à travers les falaises et les éboulis. Il a été bien équipé lors de sa création, pitons et câbles, mains courantes, escaliers…Il n’est pas très long mais il faut le parcourir sans hâte. Arrivé au col du Krappenfels la partie rocheuse prend fin et le sentier descend doucement jusqu’à rejoindre un chemin forestier qu’on suit tout droit jusqu’au Frankenthal (cirque glaciaire en contrebas du Hohneck, dans un site impressionnant, au pied des rochers de la Martinswand).
A partir de là nous avons suivi les triangles bleu pour rejoindre la Grotte Dagobert et ensuite le Col du Schaeferthal par un sentier en lacets à travers une pente assez raide. Là vous avez le choix, soit aller voir le sommet du Petit Hohneck, soit monter directement au Hohneck et à sa foule 🙂
Depuis le Hohneck, et après avoir pris le temps d’observer le panorama à 360°, descendre du sommet vers le nord-ouest et gagner le rebord du cirque, au col de Falimont (vue plongeante unique vers le Frankenthal). Continuer le même sentier (rectangle rouge), qui rejoint la hêtraie d’altitude et descend doucement vers la Ferme des Trois Fours puis le Col de la Schlucht.
ღ Pour le Topo :
ツ PAPIER:
“Est”calades – le topo d’escalade des Vosges du sud, 2e édition, Jacques Dreyer, CAF de Mulhouse, 2010.
ツNUMÉRIQUE:
- le site de Serge Haffner, moniteur d’escalade et grand connaisseur des falaises de la région. On y trouve plusieurs topos directement consultables et beaucoup d’infos.
- Le site Escalade Alsace recense plusieurs topo, dont celui de la Martinswand.
Hébergements et ravitaillement – Aux alentours
♣ Pour toutes les infos pratiques du territoire: www.labresse.net
♣ Pour toutes les news escalade de l’Alsace-Moselle, les Vosges et un peu de Suisse et d’Allemagne, un seul site : www.escalade-alsace.com
Nb: Nos articles ne sont pas exhaustifs et sont seulement une source d’informations. Veuillez respecter toutes les consignes de l’escalade, la randonnée et de la course en montagne liées à votre équipement, à vos capacités estimées et réelles, à votre sécurité et à celle des autres, à la météo, aux estives et aux troupeaux en montagne, à la flore et faune sauvages, aux changements de trajectoire selon les conditions du moment… Si vous remarquez des évolutions sur l’un de nos articles, merci de nous en faire part, pour que nous puissions rectifier! 😉 Merci d’avance.
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Bonne Grimpe ! 🙂