Comble de l’histoire, j’ai passé mon enfance dans le sud de la France à grimper sur toutes les falaises des alentours avec mes parents mais jamais je n’ai mis les pieds à Buoux… C’est enfin chose faite ! En rentrant de nos vacances dans le Beaufortain on en a profité pour faire escale à Buoux. Voici donc notre article, mais écrire sur la falaise de Buoux n’est pas une mince affaire. Située dans le parc naturel régional du Luberon en France, Buoux est l’un des sites d’escalade les plus emblématiques du monde. Je ne dois pas me tromper si je dis qu’il n’y a pas un seul grimpeur français qui n’a pas entendu parler de cette falaise. Il y a des pages entières de l’histoire de l’escalade qui se sont jouées dans ses voies. C’est pourquoi, chez Gratteron et Chaussons, nous n’allons parler que des secteurs où l’on a mis les chaussons à savoir : Colorado et Rives de l’Aigue Brun.
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SOMMAIRE: Présentation et situation | Rocher et Escalade – Exposition – Nombre et longueur des voies – Cotations | Quelques noms de voies réalisées | Accès, Approche, bivouac | Pour changer de la grimpe | Topos et infos supplémentaires
ღ Présentation et situation de la falaise de Buoux
Avant d’être une falaise mondialement connue, Buoux est un charmant village situé dans le département de Vaucluse, en région Provence-Alpes-Côte d’Azur, dans le sud de la France. Niché au cœur du parc naturel régional du Luberon, Buoux offre un cadre pittoresque avec ses ruelles étroites, ses maisons en pierre, et son environnement naturel préservé. C’est un lieu d’histoire et d’archéologie fascinant, dont l’occupation par l’homme remonte à environ -130 000 ans, au Paléolithique moyen. Les fouilles de la baume des Peyrard (et son secteur juste à gauche) ont révélé un vaste abri, creusé dans la molasse et utilisé comme refuge de choix par les Néandertaliens (bien avant la horde de grimpeurs 😉 ). Dès 50 000 ans avant notre ère, les hommes s’installèrent dans les grottes, pêchant dans les rivières et chassant sur le plateau des Claparèdes, où naquit par la suite l’architecture en pierres sèches. L’époque romaine y a laissé des traces, mais c’est dans le vallon de l’Aiguebrun (là où il y a les falaises équipées), au pied de l’oppidum sur lequel fut bâti plus tard le fort de Buoux, que s’installèrent au Moyen-Âge les habitants. De ce village primitif, avec son église placée sous le vocable de Saint-Germain, il ne subsiste que, quelques 200 tombes rupestres creusées à même le roc, ainsi qu’un autel tabulaire placé dans l’église paroissiale actuelle. En effet au cours de la seconde moitié du XVIIème siècle, la population, qui était réfugiée un temps sur le plateau du fort, s’installa à l’écart de l’étroite vallée, à l’emplacement du présent village.
À mi-chemin entre les Alpes et la Méditerranée, le territoire du Parc naturel régional du Luberon s’étend sur 185 000 hectares, de part et d’autre du massif du Luberon (1 125 m au sommet du Mourre-Nègre), sur le Vaucluse et les Alpes de Haute-Provence. Il recèle des milieux naturels d’une richesse et d’une diversité exceptionnelles, ainsi qu’un patrimoine architectural et paysager remarquable. Classé parc naturel régional depuis 1977, le Parc du Luberon gère la Réserve naturelle géologique et anime 7 sites Natura 2000. Il appartient aujourd’hui à deux réseaux de l’Unesco : le réseau international des réserves de biosphère, en tant qu’animateur de la Réserve de biosphère Luberon-Lure, et le réseau des géoparcs mondiaux. Il est également membre d’Europarc, pour mettre en œuvre la Charte européenne du tourisme durable.
Le vallon de l’Aigue Brun est inscrit dans une Zone Naturelle d’Intérêt Ecologique Faunistique et Floristique de type 1 (secteurs de grand intérêt biologique ou écologique), le plateau côté village de Buoux est classé en ZNIEFF de type 2 (grands ensembles naturels riches et peu modifiés, offrant des potentialités biologiques importantes) et le plateau côté Fort de Buoux mais descendant dans le vallon jusqu’aux secteurs Rives de l’Aigue Brun est classé Site Natura2000 aux titres de la directive habitats et directive oiseaux. Il convient donc, à nous grimpeurs de faire le maximum pour ne pas impacter la faune et la flore mais aussi les locaux car Buoux et les nuisances c’est une grande histoire d’amour (et de fermeture de falaise…)
Le vallon de l’Aiguebrun constitue un géosite majeur du Luberon de par sa géomorphologie, sa sédimentologie mais aussi son histoire tectonique. Il se caractérise par la présence d’un canyon limité par de hautes falaises, allant jusqu’à 100 mètres de hauteur (les fameuses falaises!) et des chaos de rochers éboulés (les différents sites de blocs). Son cours est particulier, prenant sa source au nord du Luberon, l’Aiguebrun traverse le massif du nord au sud, pour se jeter dans la Durance. La rivière entaille le massif calcaire formant une cluse appelée « Combe de Lourmarin ». Le vallon de l’Aigue Brun est ce qu’on appelle « un canyon messinien » résultant de l’assèchement de la mer Méditerranée il y plus de 5 millions d’années, provoquant l’enfoncement des fleuves et rivières. Dans sa partie amont, la rivière entaille le plateau des Claparèdes, formé d’un calcaire gréseux d’origine marine, appelé localement « Molasse », (mélange biodétritique de débris d’organismes marins et de petits graviers). Cette molasse burdigalienne est très utilisée dans le bâtiment. Elle est vendue sous le nom de « pierre du Gard » et a été abondamment utilisée pour la construction des ponts, châteaux et églises depuis les Romains. Citons le Pont du Gard, les remparts d’Avignon, la Citadelle des Baux de Provence. Les corniches rocheuses portent souvent de belles stratifications obliques (ce qui donne ces prises si particulières), témoins de l’existence de courants marins lors du dépôt de cette molasse. Le site est un résumé de l’histoire géologique complète du Luberon.
Je me suis posé la question d’écrire un texte pour présenter Buoux et l’histoire si particulière de l’escalade sur cette falaise. J’ai contacté beaucoup de grimpeurs et équipeurs du coin (Pierre Duret, Catherine Destivelle, Bruno Fara, Serge Jaulin, Françoise Lepron, Marco Troussier, Antoine Le Menestrel, Marc Le Menestrel et bien d’autres (Merci de vos réponses !). Mais après beaucoup de recherches je me suis rendu compte que certains sites internet relatent déjà très bien le passé comme celui de Françoise Lepron dit « Snoop » et son fameux évènement « EscalaBuoux » : www.escalabuoux.com ou encore le Grimper N°171 avec un dossier spécial sur la Légende de Buoux et son renouveau. N’ayant pas fréquenté la falaise dans son ensemble, je ne me permet pas d’écrire un historique en plus que je ne connais que de loin. Le site internet de Françoise Lepron est une mine d’or que je vous laisse aller visiter.
ღ Rocher et Escalade – falaise de Buoux, secteurs Colorado et Rives de l’Aigue Brun
Ah, l’escalade sur Buoux… Toute une épopée et un pan de l’escalade en France. Avant de s’y rendre nous avons pu lire et entendre de tout sur cette falaise : « cotations pas clémentes », « certain engagement dans les voies », « prises fuyantes où l’on ne voit pas ses pieds » … autant de petites phrases qui peuvent faire gamberger le cerveau avant même de mettre les chaussons ! Mais une fois sur place et après avoir grimpé dans les premières voies au secteur Rives de l’Aigue Brun toutes ces idées ont largement disparues.
Il y a aussi toutes ces phrases qui, depuis des années nous poussent à venir grimper sur cette falaise : « l’un des plus belles falaises du monde », « un must dans la matière », « une falaise qui a de la gueule et qui vaut le détour ». Là, tout est vrai. Une fois dans le vallon, on ne sait plus où donner du regard. Chaque bout de caillou est incroyable.
Et à propos de caillou, voyons ce qu’il en est ! Ici ce sont les strates et les trous qui dominent. L’escalade est technique. La recherche de prises franches est compliquée. Chaque voie demande une lecture précise si l’on veut enchainer les voies à vue. Les secteurs Rives de l’Aigue Brun et Colorado ne présentent pas de dévers, toutes les voies sont en dalles, bien verticales. La pose de pieds et le placement du corps sont obligatoires pour aller jusqu’au bout et clipper le relais.
Les 2 secteurs visités sont plus parsemés de strates que de trous (même si vous allez en rencontrer). Si vous avez déjà grimpé à Venasque ou Oppède, vous y verrez une belle ressemblance : des plats, des réglettes. Les mêmes qui daubent les bras au bout de 4 mouvements, y compris dans les voies abordables. Avec en supplément de grandes envolées de 40m ! De notre côté on a adoré ! Les voies ont tout pour plaire. Ici pas de mouvements en dynamique ou en force pure. Il faut prendre son temps (mais pas trop pour ne pas se cramer), lire, anticiper, tenir des bossettes et bien caler ses pieds.
Et au niveau cotations dans tout ça ? Notre visite de Buoux s’est faite à la fin de notre périple dans le Beaufortain. Ayant déjà bien couru et grimper nous n’avons pas voulu nous mettre trop la pression et avons donc choisi les secteurs ayant pas mal de voies abordables. Fraichement équipés, ces 2 secteurs présentent beaucoup de voies dans le 6ème degré ce qui nous convient parfaitement. A notre belle surprise et contrairement à tout ce que l’on a pu lire ou entendre, ici les cotations correspondent parfaitement aux difficultés rencontrées dans les voies. Un 6a = un 6a. Pas de mauvaise surprise, vous pouvez vous lancer sans pression ! Surtout que l’équipement en place permet de grimper serein !
L’équipement en place dans les voies à Buoux c’est aussi une longue histoire. Pendant des années ce fut le temple de l’engagement et Buoux garde encore à l’heure actuelle une réputation de voies engagées. Pourtant ce n’est pas ce que l’on a découvert. Un rééquipement d’ampleur a vu le jour et de nouveaux secteurs sont apparus (dont Colorado et Rives de l’Aigue Brun). L’accent a été porté sur l’ouverture de voies abordables dans le 4, le 5 et le 6. Comme le dit le nouveau topo : « Reste à se mettre d’accord sur la définition d’une voie facile : c’est une voie offrant un itinéraire digne d’un certain intérêt, équipée de façon pédagogique facilitant ainsi l’accès à l’escalade en tête sans se faire peur ». Les secteurs Colorado et Rives de l’Aigue Brun offrent cette possibilité. Nous avons découvert de belles envolées dans le 6a, 6b et 6c très bien équipées, qui permettent de bien se mettre dans l’ambiance de Buoux. Et la fréquentation sur ces secteurs ne nous contredit pas.
Le « Nouveau Buoux », 150 nouvelles lignes tout de même pour la face Est, permet de grimper du 5 au 9 (et oui, le neuvième degré est enfin apparu à Buoux), sans se mettre terreur. Les points sont placés là où il faut pour que chacun puisse grimper dans son niveau et offre la possibilité à quiconque de venir découvrir et grimper sur ce magnifique caillou dans cet environnement préservé.
« En région méditerranéenne, rares sont les cours d’eau plus ou moins permanents bordés de forêt luxuriante. L’Aigue Brun est de ceux-là, et son vallon constitue, au plan écologique, l’un des sites majeurs du territoire du Parc. Parmi les poissons, on trouve la truite fario, et le barbeau méridional, mais aussi l’écrevisse à pattes blanches, discrète et rare. La présence de ces trois espèces souligne la bonne santé de cet écosystème aquatique, mais surtout la nécessité de le préserver. L’ensemble remarquable des falaises formées par l’incision du massif calcaire participent également à sa spécificité écologique et paysagère. Enfin, les milieux forestiers mâtures et les milieux ouverts ponctuent la diversité faunistique et floristique remarquable de cet espace naturel. Mais le vallon de l’Aiguebrun est aussi un territoire conquis par les hommes depuis des millénaires et son histoire et son occupation, continue et parfois intensive – comme celle des grimpeurs d’ailleurs !, témoigne de sa grande importance dans l’histoire du pays. Le vallon de l’Aiguebrun révèle ainsi tout l’intérêt, mais aussi toute la difficulté, d’assurer la pérennité d’un projet de développement raisonné, entre le mythe d’un site naturel sauvage, préservé sans concession, et celui d’une zone d’animation outrancière, synonymes de dommages irréversibles » Eric GARNIER, Chargé d’études sports de nature – Parc naturel régional du Luberon.
Il est bon de rappeler que les secteurs « Colorado » et « Rives de l’Aigue Brun » font partis de ce Renouveau de Buoux avec les autres secteurs de la Face Est (Grillage ou Les Fouilles, Baume, Brillant Sonnée, Queyras). Certaines lignes datent des années 90 (secret spot), mais la majeure partie des lignes ont été équipées entre 2019 et 2020 par Pierre Duret, Alex Samour, Thierry Cienzo, Adrien Boulon, François Legrand, Jean-Luc Jeunet, Corinne hein, Valé Bernard et Jean-Baptiste Tribout (et j’en oublie sûrement…). Avec parfois l’aide de stagiaires en formation « stage équipeur FFME » comme pour le secteur Rives de l’Aigue Brun.
Les écologues du Parc Naturel ont aussi été présents avant et pendant l’équipement pour assurer un suivi lié à la biodiversité, ce qui a conduit à ne pas équiper certains secteurs. Sous l’égide du CDFFME 84 qui a fourni les scellements et les spits (en complément des dons de l’association Aptitude Escalade), des échanges sont encore en cours avec le Parc et les propriétaires, pour gérer le foncier où sont situés les secteurs comme par exemple « Colorado » qui est sur un foncier privé avec une ancienne oliveraie des années 50 et des vestiges d’anciennes terrasses agricole, et le secteur « Baume » où sont présentes des chauves-souris inscrites sur la liste rouge de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature. L’Arrêté Préfectoral de Protection du Biotope étant en réécriture actuellement (janvier 2024), il est demandé aux grimpeurs de respecter au maximum les règles de stationnement, la quiétude des lieux, la propreté des lieux et de ne pas détériorer les anciennes terrasses ni de piétiner les chênes verts.
ツ PÉRIODE ET EXPOSITION:
N’ayant visité que la face Est avec Colorado et Rives de l’AigueBrun, nous pouvons dire qu’il est possible de grimper toute l’année sur ces secteurs. L’été ça doit bien chauffer sur la falaise mais l’assureur est bien caché par l’ombre des arbres.
ツNOMBRE ET LONGUEURS DES VOIES SECTEURS COLORADO ET RIVES DE L’AIGUE BRUN, BUOUX
71 voies réparties sur les 2 secteurs : Colorado et Rives de l’Aigue Brun. Et 150 nouvelles voies en tout pour la Face Est.
Les longueurs font généralement 40m, dans tous les cas une corde de 80m est obligatoire ici et certaines longueurs demandent 19 dégaines (comme Bison Affûté, 6c). L’équipement des voies est parfait, y compris pour ceux qui sont juste dans le niveau. Ici chacun peut s’essayer à l’escalade en tête dans sa cotation. Merci aux équipeurs de ces secteurs de toute beauté !
ツ COTATIONS:
Comme le dit le topo : « Les cotations vont de 5b à 7c mais le 6 prédomine ». C’est exactement cette donnée qui nous a fait venir visiter ces secteurs.
ღ Quelques voies d’escalade réalisées à Buoux
ツRives de l’aigue brun
- Les mémés en vadrouille, 6a
- Ici aussi, tout va bien , 6b
ツ SECTEUR Colorado – droite
- Tripotage, 5b
ツSECTEUR Colorado – central
- Bavardages, 6a+
- A la recherche du 6b+, 6b+
- Top of the pop, 6a+
- Indigènes, 5a
ツSECTEUR Colorado – gauche
- Accrobranche, 6a+
- La Squaw, 6b
ღ Accès et Approche de la falaise de Buoux
ツParking
Apt se situe à environ 60 km à l’Est d’Avignon. Depuis Apt, prendre la D943 (Buoux est indiqué). Dépasser le village et poursuivre vers le Sud (Bonnieux et Lourmarin), prendre à gauche dans le vallon de l’Aiguebrun (indications Fort de Buoux). Il est impératif de se garer sur les parkings aménagés. Bivouac interdit !
ツMarche d’approche
Pour vous rendre au secteur Rives de L’aigue brun: Du parking, marcher jusqu’à l’auberge des Seguins. A l’entrée de l’auberge, prendre à droite la piste DFCI. 300m après, au croisement, prendre à gauche sur un chemin carrossable qui devient ensuite un sentier. Suivre ce sentier jusqu’au pieds des voies.
Pour le secteur Colorado: Même cheminement que pour le précédent. Le secteur Colorado se situe juste à gauche de Rives de l’Aigue Brun
ツEXTRAIT DE CARTE IGN – GEOPORTAIL
Lien permanent: www.geoportail.gouv.fr
ツPOUR LE BIVOUAC EN CAMION
« Buoux… Toujours Buoux !!!! Entre : Ceux qui dorment dans le Vallon, ceux qui se garent surtout n’importe où ceux qui font du feu au pied des voies, NE SOYONS PAS SURPRIS Si un jour on nous interdit l’escalade à Buoux ! Merci de faire passer l’info, il en relève de la bonne conduite des grimpeurs. Tolérance de passer la nuit au lieu dit « Barbe blanche ». En venant de Buoux monter en direction de Apt. Un fois sur le plateau des Claparètes, rouler pendant environ un kilomètre. Sur votre droite se trouve l’ère de « Barbe blanche ». + d’infos sur www.aptitudes-escalade.com
ღ Pour changer de la grimpe:
Pour le coup, nous n’avons pas visité les alentours lors de notre venue. Au prochain voyage on vous en dira plus 😉
ღ Pour le Topo :
ツ PAPIER:
Buoux, Inté’graal & alentours 2021, de Françoise Lepron & Jean-Baptiste Tribout. Editions CQFD
ツ INTERNET:
Le site de l’association Aptitudes Escalade donne des news sur les secteurs, l’équipement et les aléas divers (frelons dans les voies …) sur Buoux et les alentours.
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Hébergements, Infos et Ravitaillement aux alentours
♣ Pour toutes les infos pratiques du PNR du Luberon: www.parcduluberon.fr
♣ Pour toutes les infos pratiques du territoire: www.luberon.fr
♣ Pour un gite, un resto, juste boire un coup au pied des voies: www.aubergedesseguins.com
Nb: Nos articles ne sont pas exhaustifs et sont seulement une source d’informations. Veuillez respecter toutes les consignes de l’escalade, la randonnée et de la course en montagne liées à votre équipement, à vos capacités estimées et réelles, à votre sécurité et à celle des autres, à la météo, aux estives et aux troupeaux en montagne, à la flore et faune sauvages, aux changements de trajectoire selon les conditions du moment… Si vous remarquez des évolutions sur l’un de nos articles, merci de nous en faire part, pour que nous puissions rectifier! 😉 Merci d’avance.
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Bonne Grimpe ! 🙂